L'intelligence artificielle s'est immiscée, en quelques années à peine, dans les processus créatifs et techniques : texte, image, graphisme, codage, et plus encore. Ces avancées technologiques sont parfois difficiles à intégrer en entreprises et posent des questions cruciales sur le long terme.
Le préprocesseur Sass est un outil formidable, ne nous en cachons pas, mais les dépendances nécessaires pour la compilation et l'évolution des CSS offre l'opportunité de revenir à l'utilisation de CSS pur, ou Vanilla CSS.
L'accessibilité numérique est encadrée par deux référentiels majeurs en Europe : le RGAA, spécifique à la France, et la norme EN 301 549, applicable à l'échelle européenne. Ces deux cadres présentent des différences significatives : périmètre d'application, critères techniques et obligations.
Pourquoi repartir de zéro alors qu'il existe pléthore de frameworks CSS : Pure, Bootstrap, Tailwind, Materialize, Skeleton, Bulma - pour n'en citer que quelques-uns. Petit tour des avantages et inconvénients !
Après une série de tests avec ChatGPT, j'ai voulu comparer les résultats avec ses 2 principaux concurrents : Claude 2 (Anthropic) et Bard de Google. Les prompts sont identiques à ceux utilisés avec ChatGPT.
Troisième et dernière partie consacrée à ChatGPT : la création d'icônes au format SVG.
Seconde partie consacrée à ChatGPT : la création d'un formulaire en PHP et MySQL.
C'est un peu le buzz du moment : les IA génératives et en particulier ChatGPT de la société OpenAI. C'est donc l'occasion de réaliser quelques tests, avec un premier article (sur une série de 3) dédié aux langages HTML et CSS.
